tout ce kipik

Toujours pas de chatte à l'horizon. Ni celle de poil qui fait ronron. Ni l'autre qui a dû paumer mon adresse depuis un bail. Difficile de dire laquelle me manque le plus. Oui, moi aussi, je trouve ça plutôt malsain. Mais, que voulez-vous ?

Mauvaise session de MTT donc, hier. Cascade de bad setups, badbeats, etc. Je ne reviens pas dessus, ce n'est jamais que le quotidien d'un joueur de tournoi. Et j'ai déjà largement évacué la frustration sur mes tweets de la nuit.

On va juste tranquillement attendre le jour où je ne perd pas trois bon setups de suite deep dans un donkament. Ou celui où je gagnerai avec AA dans un $55. Parce que ça arrivera. Tout le secret est de ne pas l'oublier. C'est aussi, par moment, ce qui est le plus dur à faire...


Je viens par contre de réaliser que les Summer Series de l'ACF démarraient samedi. J'avais prévu quinze jours de poker à Paris. Et je ne m'en suis absolument pas occupé depuis que le programme a été publié. Autant dire que ma participation devient plus qu'improbable. Je ferai tout de même le Deepstack CP. Mais, à part ça... ça risque de se limiter à venir 2-3 jours en avance pour jouer en cash et faire les sats du 500€. Sans doute le Short-handed du 7/7. Allez, disons une arrivée le 2 juillet histoire de claquer 100€ par jour en sats pour le 1000€. OK, ça fait dix jours, déjà pas mal...

Et tant pis pour la première moitié de cette série et ses low buy-ins qui me tentaient tout de même beaucoup. Mais ça me semble difficile à négocier. Et j'aimerais vraiment jouer une bonne semaine complète online ce mois-ci vu que, pour l'instant, juin ne fut guère productif. Pas un drame financièrement mais, mentalement, je ne suis clairement pas à 100%. Et je n'aime vraiment pas ça.


Par contre, si quelqu'un connaît un hôtel pas trop cher, pas trop moche, pas trop loin de l'ACF et avec wifi (pas trop pourri), je suis preneur!

Sur ce, il me faut aller remplir mon frigo. En évitant les pièges des terrasses...

Et ce sera tout ce kipik qui veut gagner ses bons setups pour aujourd'hui